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Tous les sites furent conçus en optant systématiquement pour l’utilisation de matériaux à faible impact environnemental, en réduisant au maximum le volume de déchets, en contrôlant la pollution et en recourant le plus possible aux énergies renouvelables. La planification de Sydney 2000 donna lieu à l’installation du premier système de recyclage des eaux urbaines à grande échelle d’Australie, lequel permet encore aujourd’hui d’économiser près de 850 millions de litres d’eau potable par an.
L’un des principaux objectifs du comité d’organisation consistait à saisir les occasions offertes par les Jeux pour mener à bien un certain nombre de projets de conservation et de restauration des milieux naturels dans la ville de Sydney. Ces projets comprenaient le nettoyage de 160 hectares de voies navigables et des zones environnantes. Ces travaux permirent d’éliminer neuf millions de mètres cubes de déchets, de planter 100 000 buissons et 7 000 arbres, dans le cadre du réaménagement de la zone de Homebush Bay, ainsi que de récupérer 180 hectares sur des aires dégradées de friches industrielles, afin de créer de nouveaux habitats pour des espèces de grenouilles et d’oiseaux migrateurs menacées d’extinction. Il est probable que bon nombre de ces actions n’auraient jamais été menées si la ville de Sydney ne s’était pas vu attribuer l’organisation des Jeux.
Les efforts déployés par le comité d’organisation de Sydney 2000 en matière de protection de l’environnement ont depuis été reconnus au niveau international, et valurent à la ville d’être nommée lauréate, en 2001, du Palmarès mondial des 500, décerné par le PNUE. Les directives environnementales établies pour les Jeux de Sydney furent ensuite adoptées par le CIO en tant que références pour les villes hôtes de la première décennie du 21e siècle.